Bérenger Brouns Que Devient Il – Christelle Leroy et son bébé Lucas ont disparu le 22 février 2005, près du marché Saint-Martin à Paris. L’affaire a été surnommée “le boucher de Saint-Martin”. Selon la légende urbaine, ils avaient tous deux des problèmes de « passion ». Un examen approfondi de la situation se voit offrir une seconde chance.
L’action commence chez Liliane Leroy le 22 février 2005. À mesure que l’après-midi avançait, Liliane s’inquiétait de plus en plus du sort de sa fille Christelle Leroy, 26 ans, et de son petit-fils Lucas, 4 ans. Le père de son fils, Lucas, appelle. Il était autrefois un partenaire intime. Il craint de ne pas pouvoir assister à son anniversaire car Christelle et Lucas ne sont pas arrivés deux jours plus tôt.
Les flics promettent à Liliane que Christelle ne doit pas être trop loin du commissaire lorsqu’elle doit déposer de l’argent. Le lendemain, la sœur de Christelle, Élodie Leroy, reçoit un appel. Bérenger Brouns, le mécène et amant de Christelle, a le cœur brisé par son départ. Les parents et le frère de Christelle acceptent le sort qui leur est réservé depuis la disparition de leur fille et de son bébé.
La mère de Christelle s’est adressée aux médias puisque la police n’a rien fait. Elle rencontre Nicolas Deliez, reporter au Nouveau Détective qui lui propose d’examiner l’affaire à sa place. L’éditeur se rend au domicile de la jeune femme et découvre des preuves troublantes : des traces de sang sur la porte.
Bérenger Brouns, l’un des derniers à avoir vu Christelle vivante, est interrogé par l’équipe des personnes disparues. Le charcutier-traiteur du marché Saint-Martin, qui a souhaité garder l’anonymat par inquiétude, a déclaré qu’il avait parlé pour la dernière fois à sa collègue disparue Christelle le 22 février à 14h00. Personne ne peut être tenu responsable de ses actes à moins que la brigade criminelle ne travaille ensemble.
Celui dont la « passion brûlait » lors de la boucherie.
Les enregistrements d’appels montrent que son mécène, Bérenger Brouns, a tenté de la joindre à 22h16 le soir de sa disparition. Les affaires de Christelle ainsi qu’un mot indiquant que la jeune femme a eu une visite chez le gynécologue fin février sont découvertes dans le hangar du Marché Saint-Martin. Bérenger Brouns, placé en garde à vue, a révélé sa véritable identité.
Il a déclaré sans équivoque qu’il aimait Christelle et que le 20 février 2005, il l’avait étranglée après qu’elle lui ait annoncé qu’elle le quittait et qu’elle avortait. Il déclare qu’il a étouffé Lucas à mort et qu’il a chassé le cocker de la famille, Mabelle, pour empêcher tout témoin de se manifester.
Mais le problème ne s’arrête pas là. Le boucher affirme avoir démembré les corps après les avoir ramenés à son magasin après les meurtres. Le ciment s’est rapidement désintégré lorsqu’il a jeté les membres coupés et les deux têtes coupées dans les poubelles du marché local. Si j’étais l’avocat de Brouns, j’essaierais de convaincre le jury que son client a commis un “crime passionnel” parce qu’il “brûlait de passion pour Christelle”, mais je soulignerais aussi qu’il s’agit d’un crime “inhumain et presque parfait”. acte de violence.
Les corps de Christelle et Lucas manquaient depuis longtemps. Depuis sa condamnation le 27 février 2007 à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle, Bérenger Brouns a passé les 30 dernières années derrière les barreaux. Le boucher du Marché Saint-Martin est toujours avec sa femme même si elle est derrière les barreaux.
A 43 ans et quelques kilos en trop en 2005, Bérenger Brouns est marié et heureux depuis deux décennies. Il accorde une importance égale au travail et à la vie de famille, car il a deux jeunes enfants. Son surnom français signifie « M. Tout le monde ». Il est propriétaire d’une entreprise et travaille sans relâche dans la capitale française. Christelle Leroy était une de ses anciennes collègues de l’épicerie italienne qu’il dirige aujourd’hui au Marché de Saint-Martin. Les clients l’apprécient car il est gentil et serviable avec eux.
Son enfance a été profondément marquée par la séparation de ses parents. Il peut paraître un peu fou aux yeux de ses amis et collègues, même s’il n’a jamais eu de démêlés avec la justice. Mais si quelque chose au travail le dérange, il a du mal à contrôler son humeur. Après sa rencontre avec Christelle Leroy, il vit un profond changement de regard et développe des sentiments forts pour elle. Malgré les disputes, ils ont réussi jusqu’à présent et il n’a pas l’intention de mettre fin au mariage. Sa femme tolère sa liaison avec une femme beaucoup plus jeune tant qu’il ne l’abandonne pas, elle et leurs deux enfants.
LeRoy Christelle
Elle est maman d’un enfant de quatre ans prénommé Lucas issu d’une précédente relation. Dans le 10e arrondissement de Paris, à proximité du marché où ils font l’essentiel de leur commerce, son bienfaiteur et amant lui offre un appartement confortable. Elle prend la vie par la cible et ne laisse rien ni personne la retenir. Manquant de motivation pour poursuivre ses études, elle a abandonné ses études et travaille désormais au CAP comme vendeuse de viande et de charcuterie. Après plusieurs expériences professionnelles, elle est engagée par Bérenger Brouns dans la boutique du Marché Saint-Martin.
De nombreux témoins ont constaté que malgré la complexité des propos de Bérenger Brouns, celui-ci semblait « l’avoir dans la peau ». Christelle tombe enceinte en 2004, mais au lieu de poursuivre sa relation avec Bérenger, elle décide d’interrompre l’enfant. L’année suivante, elle tombe à nouveau enceinte de son enfant, mais cette fois elle prend rendez-vous avec son médecin en vue d’un avortement.
Composants et ingrédients
Le 20 février 2005, vers 13 heures, Bérenger Brouns et sa maîtresse de 26 ans, Christelle Leroy, se disputent. Elle veut une séparation nette avec lui puisqu’elle ne peut plus le supporter. Bérenger frappe son fils Lucas, 4 ans, après un baiser, des chatouilles et une gifle de sa maîtresse. Puis il tue leur chihuahua, Mabelle. Environ 16 heures plus tard, Bérenger sort chercher sa femme comme si de rien n’était. Il propose d’aller faire ses courses dans le quartier de Bercy, mais il est de mauvaise humeur et n’aura pas de remarques perspicaces à lui faire part.
Le soir de la tuerie, Bérenger Brouns met les corps de la mère et de l’enfant dans de grandes valises, les met dans sa voiture et se rend dans sa boutique au fond du marché Saint-Martin. Il étale calmement ses victimes sur une table de charcutier en plastique et procède à leur démembrement à coup de couteaux. Il prévoit de les jeter un par un pendant quatre jours.
Bérenger Brouns mélange les deux têtes avec du ciment dans deux eaux avant de les jeter dans les buissons du Marché Saint-Martin. Christelle, Lucas et Mabelle le cacatoès peuvent se rassurer : les rumeurs qui les entourent sont terminées. Bérenger Brouns passera quatre mois à l’isolement avant d’être envoyé aux aveux pour parjure.
Ce que sont devenus Christelle Leroy et son fils Lucas reste un mystère. Christelle n’a pas décroché après plusieurs tentatives. Des membres de la famille inquiets signalent sa disparition et organisent son arrestation. Étant donné que Christelle et Lucas sont probablement déjà en vacances en février, la police ne prend pas au sérieux les rapports de la famille. La mère désemparée de Christelle se tourne vers d’autres médias pour obtenir de l’aide dans sa quête. Mais Christelle Leroy est une jeune femme puissante, et ils n’ont aucune chance contre elle. Seul Le Nouveau Détective a répondu à son courrier.
En 2005, le 24 février, le journaliste Nicolas Deliez fait une apparition. Il a signalé sa découverte aux autorités après avoir vu ce qui semblait être de vieilles taches de sang sur la porte d’entrée. Christelle est un témoin crucial, la police ne peut donc pas mener sa propre enquête sur l’affaire car il n’y a pas de corps. Christelle, qui travaille comme témoin expert au tribunal, se fait également cambrioler son domicile. Cependant, à l’heure actuelle, il n’y a pas de résultats concluants.
Christelle et son enfant sont portés disparus depuis près d’une semaine, soit le 25 février 2005. S’il conserve encore certains traits inhabituels (il a deux cicatrices autour du nez), rien chez lui ne crie à un acte criminel, et il semble véritablement attristé par la mort de son employeur et maître.
La propriétaire et voisine de l’immeuble, Irène Lerman, a déclaré lundi avoir vu Christelle. Les membres de la famille de la jeune femme, notamment, se rallieront à l’innocence de Bérenger, après l’avoir soupçonné de culpabilité et avoir été témoins de sa punition. Une semaine plus tard, le premier jour de cours, ni Christelle ni son enfant ne se sont présentés. L’incapacité de Lucas à remplacer ses revenus et l’épuisement de ses économies sont les conséquences directes de la disparition de Christelle.
Bérenger Brouns est interrogé une dernière fois par la police dans l’espoir qu’il puisse révéler des informations cruciales. Ils rencontrent une personne qui garde son sang-froid et s’entend bien avec les autres. Il appelle cela une intuition. Christelle l’a largué de la même manière qu’elle a largué tous ses autres ex : en leur donnant une gifle à la tête. Il promet de ne jamais cesser de l’aimer et a hâte qu’elle revienne. Bérenger a dit au policier : « Non, bien sûr que non ! lorsqu’on lui a demandé s’il l’avait tuée.
Au bout d’un mois, la brigade conclura l’enquête et transmettra ses conclusions au procureur général. Il ne semble y avoir aucun organisme vivant et aucun cadavre n’a été découvert. L’enquête est ouverte par le procureur, qui la confie ensuite à la police judiciaire. Les relevés téléphoniques de Christelle du 4 avril 2005, jour de sa disparition, fournissent une information capitale : à 22h16, elle reçoit un appel d’un numéro situé à proximité de l’appartement de Bérenger Brouns. Mais il a déclaré que 14 heures s’étaient écoulées sans aucune nouvelle de personne.
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