Mc Jean Gabin Taille – MC Né Charles M’Bous le 28 janvier 1967 à Paris, France, Jean Gab’1 est un acteur, comédien, scénariste, écrivain, rappeur, auteur-interprète et athlète francophone. Il a travaillé comme animateur de télévision, quoique brièvement.
A l’âge de 10 ans, en 1977, il se retrouve orphelin lorsque son père tue sa mère et son amant lors d’un divorce tumultueux. Il se retrouve à la DDASS après un passage dans la criminalité et le banditisme au sein de gangs dans les années 1980 et 1990, et il passe ce temps en prison en France et en Allemagne.
En 2003, il revient à la musique avec la sortie de son premier album, Ma vie, qui présente le tube controversé “J’t’emmerde” et le propulse vers la gloire. Compte tenu de sa renommée, l’industrie cinématographique l’a tout de suite remarqué en raison de sa personnalité magnétique et de son histoire mouvementée, qu’il a dû surmonter après une éducation troublée et chaotique.
Il a une longue liste de rôles dans différents films d’action. Ses rôles décisifs sont venus dans Banlieue 13 (2004) et Black (2009). Il a sorti son deuxième grand projet solo, Seul… Je t’emmerde, en 2010. Même s’il a sorti deux albums studio, il ne se considère pas comme un rappeur dans la même mesure. Plus que toute autre chose, il se considère comme un créateur, et le rap est la toute dernière chose sur sa liste de passions et de poursuites.
Dans les années 2010, il commence à écrire et en 2013, publie son autobiographie, Sur la tombe de ma mère, dans laquelle il détaille les hauts et les bas de sa vie. En 2015, il publie une deuxième autobiographie, l’est, dans laquelle il évoque son implication dans la sous-culture des bandits. Chacun de ces livres est écrit dans un style vif et idiomatique.
Cette année-là également, il tient un rôle dans le film Banlieue 13 : Ultimatum. Parallèlement, l’année de ses 45 ans, 2012, il devient champion de France dans la discipline du street workout (ou “musculation de rue”). En 2018 et 2019, il poursuivra sa carrière d’humoriste en apparaissant dans la série télévisée Access créée par Ahmed Sylla et diffusée sur C8.
MC Acteur, comédien, scénariste, écrivain, rappeur, auteur-interprète et athlète français, Charles M’Bous (alias Jean Gab’1) est né le 28 janvier 1967 à Paris. Il a travaillé comme animateur de télévision, quoique brièvement.
En 1977, à l’âge de dix ans, il devient orphelin après que son père a assassiné sa mère et son amant à la suite d’un divorce tumultueux. De retour à la DDASS, il sombre dans le crime et les gangs, passant les années 1980 et 1990 en prison en France et en Allemagne.
Il revient à la musique en 2003 avec la sortie de son premier album Ma vie, qui présente l’air controversé J’t’emmerde et le catapulte vers la gloire. Compte tenu de sa renommée, l’industrie cinématographique l’a tout de suite remarqué en raison de sa personnalité magnétique et de son histoire mouvementée, qu’il a dû surmonter après une éducation troublée et chaotique. Il a une longue liste de rôles dans divers films d’action.
Ses rôles décisifs sont venus dans Banlieue 13 (2004) et Black (2009). Une suite à son premier album solo, Seul… est sorti en 2010. Je suis désolé de vous avoir contrarié. Deux albums studio sont sortis, bien qu’il ne se considère pas comme un rappeur. Il se considère plus comme un artiste que comme un rappeur5, et le rap est la moins importante de ses nombreuses activités6.
Au début des années 2010, il se tourne vers l’écriture, et en 2013, ses mémoires Sur la tombe de ma mère sont publiés, dans lesquels il détaille son éducation mouvementée et son début d’âge adulte. En 2015, il publie un autre mémoire, l’est, dans lequel il détaille son passage dans la pègre des bandits. Ces deux livres se distinguent par leur prose vivante et remplie de jargon.
Cette année-là également, il tient un rôle dans le film Banlieue 13 : Ultimatum. Parallèlement, il commence à s’entraîner dans le domaine du street workout (ou “musculation de rue”), où il devient finalement champion de France en 2012, à l’âge de 45 ans. A partir de 2018, il sera un habitué des Access de C8, une émission télévisée créée par Ahmed Sylla.
En 2003, il rappait, “MC Jean Gab’1 n’est pas un putain, retiens-le bien.” Cette pièce, humblement intitulée “J’t’emmerde”, s’adresse au “gros tas de purin” qu’est “le rap”, et nous l’avons compris.
Tout le monde à l’époque, de Kool Shen à Booba, semblait considérer cette écoute obligatoire. L’industrie du rap peut sembler être peuplée de “tant de boules qui parlent de rue, à faire croire qu’elles sont toutes SDF alors qu’en fait, il n’y a pas de bézef”, mais ce n’est pas le cas.
C’est dans le 19e arrondissement de Paris que nous avons croisé Jean Gabin’1, alias Charles M’bouss, 12 ans plus tard. Un quartier qu’il a exploré jeune après avoir quitté la DDASS (où il a été placé après le meurtre de sa mère par son propre père) et l’établissement pénitentiaire (où il a passé 8 ans au total, dont une partie en Allemagne).
Cet “homme en colère” a sorti plusieurs albums studio et mixtapes ainsi que deux livres aux éditions Don Quichotte depuis 2003. On l’a vu dans de nombreux films, dont Banlieue 13 (Perre Morel, 2004) et Seuls Two (Eric & Ramzy , 2008). Il se lance également dans la musculation de rue, devenant un athlète de haut niveau en termes de forme physique.
Il a accepté de visiter notre bureau afin que nous puissions discuter d’un autre sujet. Bien que nous ayons préparé du thé et du café pour l’athlète, il a opté pour une petite bouteille de soda car “un athlète ne lésine pas sur les liquides”, comme disent les Français.
ncG1vNJzZmikkaiwprjEm6mirJVjsLC5jqaaZqKVlrtus8CboKdlpJa2rbjEaA%3D%3D