Serge Joncour Et Sa Compagne

Serge Joncour Et Sa Compagne Deux actes comprennent le processus dcriture dun roman ou dun autre morceau de prose. Lorsque vous crivez un roman, un essai ou une histoire, vous savez quil sera termin lorsque vous atteignez un certain point. Cest imaginer tout.

Serge Joncour Et Sa Compagne – Deux actes comprennent le processus d’écriture d’un roman ou d’un autre morceau de prose. Lorsque vous écrivez un roman, un essai ou une histoire, vous savez qu’il sera terminé lorsque vous atteignez un certain point. C’est imaginer tout.

Dans le passé, j’avais baigné dans une forme d’écriture dispersée. Tout a été perdu car il n’y avait ni ordinateur ni fichiers. Je n’ai pas eu besoin de mettre un stylo sur papier pour arriver à quelque chose.

Les auteurs m’ont toujours marqué puisque je vois toujours des gens libres ou semi-libres avec leurs propres expériences et styles d’écriture. J’ai toujours senti que j’allais devenir auteur un jour. J’ai investi du temps pour m’habituer au concept. En même temps, il s’agissait d’un désir, d’un espoir privé.

Devenir auteur, c’est donc décider d’écrire uniquement pour soi. J’écris actuellement un livre dans le mais d’en découvrir le contenu. La raison pour laquelle il est plus intéressant pour moi d’écouter parler un auteur que de parler moi-même, c’est que j’écris le livre pour moi, pour l’avoir. Je ne l’écris pour personne d’autre ; il n’y a pas de lecteur prévu.

Littera : Mais ce soir, ce n’est pas par hasard que c’est à toi qu’on entend et à qui on parle. Nous allons lire certains de vos livres maintenant. Après l’homme qui ne savait pas dire “non”, on l’a découvert et ça nous a ému.

Il s’agit d’une collection d’histoires d’amour, comprenant 17 pièces de fiction flash qui semblent avoir été écrites en une seule séance. Dans ces contes, l’amour romantique prend de nombreuses formes, notamment l’amour parental, l’amitié platonique et même la romance en ligne.

La plupart des histoires ont une fin tragique : quelqu’un s’en va, leur relation est en ruine, ils vivent seuls ou avec quelqu’un d’autre, ils attendent quelqu’un qui ne vient jamais, ils sont aux prises avec la maladie ou la vieillesse, ils ne peuvent pas avoir d’enfants malgré les voulant, ils ne peuvent pas épouser quelqu’un de leur âge à cause d’un écart d’âge important, ils ont perdu un ami, ils risquent la mort. Toutes les vieilles normes de tomber amoureux, de rencontrer quelqu’un, d’attendre, d’être déçu, de devenir désillusionné et de rompre…

A. Serge Joncour : Oui, oui, oui… Ah oui ! À un moment donné, j’ai réalisé que j’avais réellement écrit un tel livre. Assemblage de mes écrits J’ai besoin de parler à mon éditeur car nous avons coupé la moitié du texte. Je n’avais pas l’intention de dresser le tableau d’une relation strictement amoureuse entre deux personnes du même sexe ; je pensais plutôt à une histoire où deux personnes du même sexe…

Cette méthode de reconnexion avec les autres – via le courrier électronique, les sites de rencontres et autres forums en ligne – est jugée inacceptable par beaucoup. C’est une façon fantastique de réimaginer la première réunion. Je voulais écrire à ce sujet à cause de mes propres expériences et de celles des gens autour de moi. Cependant, je ne suis pas entièrement à l’aise avec le titre…

La suite de “La Nature de l’Homme” de Serge Joncour s’intitule “Chaeur de l’Homme”, et il n’est pas nécessaire d’avoir lu le premier livre pour apprécier celui-ci. Le roman se déroule dans l’année dystopique de 2020 et suit la fortune d’une famille française alors qu’elle évolue en tandem avec le reste du monde.

Cela ne semble peut-être pas attrayant de revivre les souvenirs douloureux de votre premier covid et de vos premières semaines de confinement, mais vous oublierez vite vos réticences en vous laissant emporter par l’histoire de cette famille obligée de vivre ensemble pendant plusieurs mois.

Le 28 novembre 1961, à Paris, France, Serge Joncour est né. Son premier roman, Vu, a été publié en 1998, mais il a travaillé comme publiciste et capitaine de yacht avant de se consacrer à l’écriture à plein temps. À plusieurs reprises, ses œuvres se sont démarquées, notamment U.V, L’idole, Repose toi sur moi et Chien Loup. Trois d’entre eux connaîtront des adaptations cinématographiques entre 2007 et 2020.

Serge Joncour Et Sa Compagne

À travers ses écrits, il soulève des questions pertinentes sur l’état du monde moderne et le lien entre l’existence rurale et urbaine. Serge Joncour est un écrivain qui nous amène à réfléchir sur nos propres a priori.

C’est notamment le cas de son livre de 2020, Nature Humaine, qui a remporté le prestigieux Prix Fémina. C’est l’histoire d’une famille d’agriculteurs français vivant dans le Lot qui s’adapte aux changements sismiques qui sont sur le point de bouleverser à la fois leur mode de vie et le pays dans son ensemble.

Ce sont ses mots après avoir succombé au charme de cette terre exotique. Une amie de petite enfance, une parente installée là-bas, est suivie par une rencontre fortuite avec son amie née dans le pays, dans les années 1990.

Une terre ouverte à la découverte, où chacun est libre d’errer là où son imagination le mène ; une terre pleine de contrastes ; une terre où l’on se sent chez soi. Il s’est enfin avoué que cette terre est la sienne, qu’elle l’a « appelé ». Son triangle secret comprend également la Nièvre, dont il est originaire, et la ville de Paris.

Un million d’histoires pourraient être écrites sur ces paramètres.

Une vallée magique dans le Vers, des villages de charme comme Cabrerets et Cénevières ou plus sauvages comme Lauzès, des plaisirs simples comme flâner au marché de Saint Géry le dimanche matin et sentir la menthe fraîche ou les géraniums sauvages dans les bois ne sont que quelques-uns des lieux. et des moments qui peuvent stimuler la créativité. Plus de la moitié de ses romans se déroulent dans le Lot, mais il en révèle rarement trop, s’appuyant plutôt sur l’imagination du lecteur.

Nul ne pouvant rester indifférent à ses écrits, on se précipite donc immédiatement à la librairie pour rapporter à Serge Joncour un peu de son bien-aimé Lot.Né en 1961. Son premier éditeur, Le Dilettante, décrit sa naissance comme survenant « lors d’une journée de grève générale ».

C’est une source de critiques de longue date à son égard. Depuis lors, il n’a pas arrêté ce qu’il a commencé. Il est arrivé à l’école à une heure impie et en est parti peu de temps après. Il a partagé ses années de formation entre la capitale française de Paris, les régions françaises. de la Nièvre, de l’Eure/Loir/Valais et des Alpes suisses. Lorsqu’il a voulu devenir ninja de combat, il s’est plutôt inscrit à des cours de philosophie.

Littera : Vous avez sorti votre premier livre en 1998, quand vous aviez 37 ans. “Vu”, le premier roman de l’auteur, est “une histoire complètement désopilante où l’on retrouve, déjà en germes, les petites choses qu’on retrouve sans cesse dans l’homme qui ne savait Avez-vous déjà touché à l’art d’écrire ?

Serge Joncour : J’ai tendance à être un peu introverti et converser n’est pas vraiment une seconde nature pour moi. Cela me convient bien d’être une personne contemplative, car il y a beaucoup de choses à méditer pendant le voyage de Budapest à Paris. Je dois dire qu’une grève ou un nuage de smog est une perturbation qui amène les gens à emprunter un itinéraire différent à un moment donné.

J’ai fait tout le chemin jusqu’ici et j’ai vu des paysages à couper le souffle qui m’ont coupé le souffle. Vous pouvez voyager de Londres à Istanbul en passant par Bucarest sans avoir l’impression d’avoir vu l’Europe. Il est possible de faire le tour de la belle Bavière, mais nulle part ailleurs vous ne vous sentirez aussi captivé qu’ici. C’est un joyau inestimable…

J’ai pris le métro avant de m’asseoir pour écrire. En tant que jeune (13-16 ans), j’aimais échapper aux ennuis en prévenant à l’avance et en laissant un message. L’absence d’appareil mobile a inquiété les gardiens. En tout cas, c’est comme ça que j’ai fait mes itinéraires de train.

Vous pensez probablement que je me suis éloigné de votre requête initiale, mais ce n’est pas du tout le cas. Quand je voyage seul, c’est presque comme une allégorie : après avoir vu quelque chose, je me sens obligé de l’analyser, de le résumer et de le partager avec les autres.

Je ne suis pas un menteur et c’est épuisant de parler tout le temps. J’admire beaucoup les bavards car ils ont une faconde à la fois généreuse et épuisante. Je n’ai tout simplement pas le courage de me lancer comme ça. Écrire signifiait donc un autre type de traduction. À l’école, on voyait peut-être des enfants dessiner tout le temps, mais écrire m’est venu naturellement.

Dans une certaine mesure, écrire me faisait rire parce que cela me rappelait le temps que j’avais passé dans un collège « un peu particulier, un peu sévère », menant à des carrières militaires ou religieuses où les blagues étaient mal vues. J’ai moi-même rédigé de brèves phrases et des factures.

A. Serge Joncour : Je ne sais pas; lire de la fiction est un excellent moyen d’échapper à la réalité, mais il faut parfois s’y replonger pour se retrouver. Pour moi, c’était l’occasion d’entamer une conversation. C’est une façon de faire passer votre message au monde.

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