Nassima Djebli Origine

Nassima Djebli Origine Le 1er aot, Nassima Djebli a succd Gal Sallio la tte du service de police dArles. Elle stait recycle Bordeaux pour assumer un rle plus fminin, dirigeant une petite unit de 16 soldats. Dans mon esprit, je suis une policire forte. Je suis fier dtre moi !

Nassima Djebli Origine – Le 1er août, Nassima Djebli a succédé à Gaël Sallio à la tête du service de police d’Arles. Elle s’était recyclée à Bordeaux pour assumer un rôle plus féminin, dirigeant une petite unité de 16 soldats. Dans mon esprit, je suis une policière forte. Je suis fier d’être moi !

En ce moment, elle commande 197 policiers dans le plus grand corps de police des Bouches-du-Rhône. Un montant qui, avec des améliorations, pourrait atteindre 230 d’ici la fin de l’été. Depuis son arrivée, la nouvelle commandante s’est donné pour priorité de rencontrer chaque brigade individuellement pour se familiariser avec les hommes et les femmes sous son commandement. Après le départ de son prédécesseur, son bureau a fait peau neuve. Une table ronde est mise en place pour les réunions.

Probablement des bonbons cachés. L’élément humain est essentiel à un leadership efficace. En début de semaine dernière, elle faisait un décompte : “Depuis que je suis ici, je reçois tous les jours, j’ai rencontré 10% des salariés.” Des réunions internes, des présentations aux autorités constituées, des rencontres régulières avec les maires de chaque commune sont nécessaires au bon déroulement des opérations. En tant que RH, je suis également responsable de la logistique et de la sécurité. Nous développons ces compétences et plus encore en classe.

La patronne de l’entreprise n’est pas très critique sur la promotion arlésienne qu’elle proposait pour son organigramme. Selon mes propres mots : « J’avais demandé la commande ; je voulais visiter les Bouches-du-Rhône, notamment Arles. Le passé militaire du gendarme de 34 ans lui a permis de faire cette demande.

Law and Order Comme alternative à l’Association du Barreau

Après avoir obtenu sa maîtrise en droit et sciences judiciaires à Paris X – Nanterre, la Parisienne passe et réussit l’examen du barreau. Pour obtenir des conseils juridiques, cependant, je préfère ne pas passer par l’A.L.J. Elle s’engage dans la gendarmerie nationale en 2010 pour deux ans, passant le premier à l’académie et le second à l’unité d’observation et de surveillance parrainée par le GIGN, où elle se concentre sur l’enseignement.

Après quatre ans de service à Bordeaux, son premier commandement l’amène à Paris, où il va superviser la police judiciaire d’une grande région. Avant de terminer son séjour à Paris avec une concentration sur la radicalisation et le contre-terrorisme, elle s’est d’abord concentrée sur des thèmes ultra-gauchistes comme la nature contestée de l’environnement bâti parisien.

Arles a scotché quelque chose dans son œil parce que “j’aime les défis, et je souhaiteais une grosse compagnie!” La nouvelle recrue est enthousiasmée par l’opportunité de mettre à profit ses talents axés sur les données, et s’intéresse particulièrement aux taux élevés de fraude aux crédits et aux augmentations saisonnières de personnel. Ensuite, ils m’ont expliqué le contouring; apparemment, la clé est de trouver le meilleur équilibre possible entre les deux extrêmes.

Près du sol, là où se trouvent les électeurs et leurs représentants

Le commandant a volontairement visité les lieux plusieurs fois depuis son arrivée. J’ai besoin d’un but dans ma vie. J’attends avec impatience le jour où je pourrai prendre l’initiative et diriger du front. Pour une directive très humaine, j’ai l’habitude d’exprimer ce qui doit être dit. Au-delà de l’ampleur de ses interactions avec les mâles “ses”, les objectifs ultimes de la mission Arlenean sont actuellement inconnus.

Je veux aider la communauté à se sentir en sécurité, afin que je puisse être là chaque fois que quelqu’un a besoin de moi. Pour garantir que les individus se sentent en sécurité sur leurs propres terres, nous nous efforcerons d’arrêter les accaparements de terres illégaux. La capacité à identifier la couleur bleue et à faire prendre ses plaintes au sérieux est cruciale.

Le commandant Djebli espère s’appuyer sur l’apport des brigades et sur l’expertise locale approfondie des autorités élues pour atteindre ces objectifs. Il faut qu’il y ait confiance entre le peuple, ses élus et la police. Je vais immédiatement commencer à travailler vers cet objectif.

En attendant, le commandant a profité du mois d’août pour sillonner la région, tant pour le travail que pour le plaisir. La chaleur et l’hospitalité des Arléans ont dépassé mes attentes. Tout le monde semble parfaitement à l’aise.

La Gendarmerie a récemment installé un nouveau système de radio bidirectionnelle. Le 1er septembre, le colonel Maddy Scheurer prendra le commandement du contingent du Puy-de-Dôme basé à Clermont-Ferrand, et elle sera suivie dans cette fonction par deux officiers. Deux officiers ont été choisis après un appel à candidatures et un “casting” a été organisé par le directeur général, le général d’armée Christian Rodriguez.

Marie-Laure Pezant, le nouveau lieutenant-colonel, et Nassima Djebli, le nouveau chef d’escadron, débuteront leurs mandats respectifs les 1er juillet et 1er août. Les deux nouveaux “visages” de l’armée ont été présentés à La Voix du Gendarme et à Maddy Scheurer. En parler et le montrer.

Quand avons-nous eu deux trompettes ? Selon Maddy Scheurer, “porter le message de la Gendarmerie est une tâche essentielle et exigeante car la communication fait désormais partie intégrante de toutes les matières”, c’est pourquoi il est nécessaire de faire évoluer continuellement le rôle au fur et à mesure que de nouvelles tâches sont identifiées.

La personne qui passera les quatre prochaines années à ce poste de premier plan décrit son travail comme “responsabilisant”, “exige une énorme disponibilité” et “permet de développer de nouvelles compétences”.La colonelle Scheurer envoie ses deux héritiers dans un “tuilage” pour se former à leurs nouvelles carrières, “qui exigent d’être à la hauteur”.

C’est pourquoi elle leur fait bénéficier de ses vastes connaissances acquises par des études rigoureuses dans une école d’élite de la communication et des compléments d’études dans le cadre de l’enseignement supérieur militaire (ES2). Elle leur donne quel genre de conseil ?

Depuis quatre ans, elle est le visage public de la Gendarmerie. Pendant ce temps, elle a fait remarquer, “J’essaie de transmettre les détails à connaître.” Ses mots sur l’authenticité sonnaient juste : « Il est essentiel d’aimer ce que l’on fait, de parler de son métier avec simplicité, d’aimer ses camarades gendarmes et le service au public. Marie-Laure Pezant est une journaliste expérimentée qui a travaillé à la fois pour l’ENA et l’AMF.

Nassima Djebli Origine

Marie-Laure Pezant, 41 ans, est maître de conférences dans une université. Comme Maddy Scheurer, elle était responsable de la brigade de Grimaud (Var). Un officier ayant pris connaissance des liens positifs de la brigade avec la presse fait le constat suivant : “La brigade est un échelon fondamental, on y cultive les relations avec la presse.”

Avant de devenir PDG de SaintOmer (62), entreprise “une extraordinaire aventure humaine”, MarieLaure Pezant a été chargée de communication régionale AuvergneRhôneAlpes. A ce titre, j’ai participé à des opérations aux côtés des Gendarmes.

En fréquentant l’Ecole nationale d’administration de Strasbourg (ENA), il a pu “ouvrir son champ sur les politiques publiques, notamment par un stage en préfecture”, comme il le dit. Marie-Laure Pezant “l’a énormément apporté” et “a mis en pratique les compétences qu’elle avait acquises à l’ENA” en passant les deux dernières années de sa formation en détachement à l’association des maires de France, l’AMF.

En matière de sécurité, j’ai pu briefer les élus sur le pouvoir de transformation de la Gendarmerie et proposer mes conseils. L’agente estime que son nouveau poste de porte-parole est une prochaine étape naturelle dans son développement professionnel.

Une cheffe d’escadron de 36 ans nommée Nassima Djebli dirigera l’entreprise d’Arles (13) en 2020. Elle et son futur binôme ont des traits physiques étonnamment dissemblables mais complémentaires. Cette épouse de policier et mère d’un jeune garçon est également titulaire d’une licence en droit.

Elle est née dans le département français des Hauts-de-Seine (92) de parents qui n’ont pas servi dans l’armée et avaient prévu d’étudier le droit avant de tomber par hasard sur le métier de gendarme alors qu’elle préparait un examen de licence. Elle en a appris davantage sur le métier de gendarme en travaillant comme assistante de justice.

Nassima se remémore : “Même quand j’étais toute petite, j’étais une grande fan des procédures policières, et la carrière d’enquêteur m’attirait vraiment.” Depuis son départ de l’EOGN en 2012, elle adresse un clin d’œil et un signe de tête affectueux à ses subordonnés du groupe d’observation et de surveillance (GOS) de la section de recherche de Bordeaux.

En 2016, elle revient à la DGGN en tant qu’analyste de recherche au SDAO (le sigle signifie « sous la direction de l’anticipation opérationnelle »). Après cela, elle est promue commandant de compagnie et dirige les 200 hommes de la Compagnie de défense d’Arles. Auparavant, elle avait servi la DGSI en tant qu’analyste du renseignement.

Pour “renouveler son engagement” et “donner encore plus de sens” à son métier, elle a choisi de se présenter comme porte-parole. Après avoir tant reçu, la cheffe d’escadron dit : « Je veux rendre tout ce qu’on m’a donné. Il quitte son poste de commandant après la célébration du 4 juillet.

Le représentant résume la situation en disant : « C’est une grande entreprise avec beaucoup de problèmes. Tout au long de l’été, elle compte s’appuyer sur ses 197 gendarmes, répartis en 9 brigades, 2 Psig (unités de patrouille et d’intervention de gendarmerie) et 1 unité de recherche et de sauvetage.

D’autre part, il est important de lutter contre les nombreux types de criminels qui se concentrent dans le triangle formé par les villes de Marseille, Nîmes et Avignon. Sans même tenir compte des fêtes environnementales ou religieuses. Il allie intelligence, empathie et adaptabilité. Nassima Djebli, la commandante, explique : « Je veux être proche de mes gendarmes, des élus et de la population car nous sommes là pour eux.

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