Djamel Affaire Conclue – Le programme Affaire réalisé par Sophie Davant a un repreneur en la personne de Djamel Bentenah. A la rentrée 2019, il rejoint l’équipe en tant qu’antiquaire et propriétaire de deux boutiques aux Puces de Saint-Ouen. Sur les réseaux sociaux, elle a été félicitée pour sa beauté et.
Son style unique lanimateur lui a également demandé s’il avait le même coiffeur que Pierre-Jean Chalençon lors de son premier entretien. Djamel Bentenah s’épanche complètement sur Femme Actuelle dans une longue conversation. Lorsqu’il rencontre Sophie Davant pour la première fois, c’est le début d’un.
Nouveau chapitre de sa vie et de son œuvre, ainsi que le début d’une nouvelle idylle. Lors de mon passage aux Puces, une chasseuse de tête m’a approché et m’a dit qu’elle cherchait un comédien atypique pour l’émission. Elle admirait mon allure et ma tenue. Elle m’a posé des questions, m’a enregistré et pris une.
Photo de moi pour me présenter comme candidat. Leur demande suivante était que nous nous rencontrions. Cependant, je n’ai pas immédiatement accepté; au lieu de cela, j’en ai discuté avec ma femme. Ma confiance était faible au début. Je ne savais pas si je serais capable de jouer au niveau requis pour le concert.
À la suite de leur insistance, j’ai tenté le coup. Je vais siffler maintenant que c’est calme. “Tu sais, je regardais cette émission depuis mon canapé et me voilà dedans”. Je lui ai demandé l’autre jour. J’ai essayé d’évaluer la valeur de chaque article qui passait par Harold Hesselhands. C’est alors que les choses ont commencé aller.
Dans mon sens du coup, quand ils sont venus me chercher, c’était assez amusant. J’avais la boule du ventre et j’étais nerveux à propos de ce qui allait se passer. C’est comme le premier jour dans une nouvelle école, où nous devenons un peu nerveux. Le reste appartient à l’histoire. Il n’a pas fallu longtemps.
Julien pour me mettre à l’aise lorsqu’il est venu me parler. Nous n’avons pas non plus le temps ni l’envie de nous en préoccuper. On se parle au téléphone et on s’envoie des textos quand on ne se voit pas dans l’émission. Tout le monde s’entend avec moi. Anne-Catherine Verwaerde a été extrêmement courtoise et amicale.
Avec moi dès le début. Quand j’ai travaillé avec Stéphane Vanhandenhoven sur le deuxième tournage, on s’entendait très bien. Et puis il y a ceux avec qui je n’ai pas eu autant l’occasion de tourner. Il n’y a pas que Julien Cohen qui a été généreux. Il m’a également fourni une excellente publicité d’équipe.
Je l’avais déjà rencontré quelques fois aux Puces, où il travaillait. Mon personnage préféré est Caroline [Margeridon]. Elle est pleine d’esprit, elle est vive et c’est une joie d’être avec elle. La Madame bisou en elle est un peu visible. Je ne peux pas dire que j’ai une forte préférence entre les deux.
Son identité m’est inconnue car je n’ai pas eu l’occasion de la rencontrer en personne. J’ai le droit de lui dire bonjour chaque fois que je la vois, même si elle est habillée et prête à partir. Chaque fois que je l’appelle, elle répond au téléphone puis disparaît dans son bureau pour travailler sur quelque chose.
Ma femme, d’autre part, a eu une brève conversation avec elle et m’a informé qu’elle était une personne merveilleuse. En juillet, nous sommes allés à Affaire, où nous avons dîné et dansé. Et ma femme a également pu s’asseoir à côté de Sophie. ‘ Je ne cache pas le fait qu’elle me fait toujours peur.
La plupart de mes questions concernent son parcours professionnel et son expérience, ainsi que sa peur de se produire devant un public. Quand je descends la rue, ils savent déjà qui je suis. “Ah, c’est le gentleman à la télé”, est une phrase que j’entends souvent. Ce n’est pas une mauvaise expérience.
Julien Cohen, Caroline Margeridon, Diane Châtelet et moi sommes fréquemment sollicités par les provinciaux aux Puces de Saint-Ouen. Depuis que je suis enfant, je n’ai jamais refusé l’opportunité de poser pour une photo avec quelqu’un. Il est rare que je n’en fasse pas au moins 30 par jour le week end.
Même si ma vie aurait été meilleure si j’avais fait une affaire conclue quand j’avais 20 ou 30 ans. Cela pourrait ouvrir la voie à une profession artistique, comme jouer, diriger ou composer pour l’écran, la scène ou la musique. J’aurais aimé pouvoir faire ça. “J’aurais rêvé d’être Mick Jagger” est ma réponse standard chaque.
Fois que quelqu’un me demande si je suis d’accord pour prendre un selfie. Pour devenir chaudronnier, j’ai fréquenté un lycée professionnel. Ça ne m’a pas du tout plu. Je suis entré dans l’usine après avoir obtenu mon CAP. Après, je ne suis jamais revenu. Les cours de neige et de verdure étaient supervisés par.
Moi pendant que je me plongeais dans l’animation. J’ai gardé un sac d’hiver et un sac d’été dans mon placard. J’ai quitté l’école à 18 ans pour m’engager dans l’armée. Alors que j’étais stationné à Colmar, en France, avec le 152e régiment d’infanterie, j’ai reçu l’ordre de me présenter au travail. De retour de armée.
Jai travaillé dans le prêt-à-porter. Daniel Hechter était mon ancien employeur. A Colombes, en France, j’ai lancé ma première boutique de vêtements à la sortie de l’université. C’était un travail que j’aimais beaucoup et qui payait les factures. Parce que les affaires à mon premier emplacement étaient alors allezod jai.
Décidé d’ouvrir une seconde. Quand la guerre du Golfe a éclaté, j’ai mis beaucoup de temps et d’efforts et j’ai fini par perdre deux millions de francs. J’ai tout perdu quand j’ai été licencié. J’ai pu décrocher quelques emplois à temps partiel ici et là. Et donc je me suis tourné vers les âges des anciens. C’est quelque chose que j’ai toujours aimé et j’en avais beaucoup dans.
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