Agns Vahramian A T Elle Des Enfants

Agns Vahramian A T Elle Des Enfants La guerre en Ukraine occupe le devant de la scne sur tous les rseaux dinformation depuis plus de dix mois maintenant. Les journalistes envoys sur les lignes de front reviennent souvent pour rendre compte des horreurs dont ils ont t tmoins, ainsi que des scnes de soutien

Agnès Vahramian A T Elle Des Enfants – La guerre en Ukraine occupe le devant de la scène sur tous les réseaux d’information depuis plus de dix mois maintenant. Les journalistes envoyés sur les lignes de front reviennent souvent pour rendre compte des horreurs dont ils ont été témoins, ainsi que des scènes de soutien et de solidarité dont ils ont été témoins entre les attentats.

Le groupe comprend Maryse Burgot. Le correspondant de guerre de France 2 a effectué au moins six voyages en Ukraine depuis le début de l’assaut russe. Lors d’une intervention sur France 2 dimanche 4 décembre à 20h30, Maryse Burgot a évoqué le bilan émotionnel de la couverture de cette guerre avec l’animateur Laurent Delahousse et trois autres journalistes (Stéphanie Perez, Dorothée Olliéric et Agnès Vahramian).

Il va sans dire que Maryse Burgot, 58 ans, n’est jamais seule en Ukraine. Elle dispose également d’un caméraman sur le terrain et d’une équipe de fixeurs (des Ukrainiens qui font office de guides ou d’interprètes pour les journalistes français et qui garantissent souvent leur sécurité). Et puis elle rencontre des gens, des gens ordinaires qui ont été renversés par l’horreur et qui sont en train de tuer ou d’être tués par elle. Cependant, une fois sa tâche terminée, elle peut rentrer chez elle.

Il est hors de question de s’excuser maintenant.

Elle a expliqué : « Nous voyons des choses très puissantes, tout comme les civils qui nous entourent », avant d’ajouter : « Je ne me permets pas d’être dans un état d’esprit quelconque quand je rentre chez moi. » Les chances de passer plusieurs semaines au milieu d’une guerre, puis de rentrer chez nous dans une maison chaleureuse sont astronomiquement en notre faveur. Se plaindre est donc inutile.

Ou pour avoir une idée d’un état intérieur. « Maryse Burgot peut en effet rentrer chez elle, auprès de son fils Noé et de ses amis, peu importe son contentement dans sa vie professionnelle, amoureuse ou familiale. Cependant, elle laisse toujours un peu d’elle-même derrière elle. Revenir à la réalité est un défi.

De nombreux enfants ukrainiens ont été séparés de leur famille et se cachent actuellement en Russie, derrière les lignes ennemies. Des centaines de mères partiront à la recherche de leurs enfants en territoire ennemi. Deux d’entre eux portent l’étiquette “Envoyé spécial”.

Oleksandra, 87 ans, s’apprête à partir en Russie alors que la guerre fait rage. Juste vous et votre peur instinctive. Cette Ukrainienne retrouvera son fils adoptif Dima, qu’elle a élevé pendant 15 ans. L’armée russe a envahi leur village près de Kharkiv le 24 février 2022 et l’a occupé pendant une semaine avant d’en être chassée par l’armée ukrainienne. Les soldats russes à la retraite ont ensuite emmené Dima et ses enfants dans leur camp d’internement.

Un long détour par la ligne de front

Comme des centaines d’autres mamans ukrainiennes, elle va partir à la recherche de son fils Dima en territoire ennemi pour le ramener chez elle. Ce long voyage est sa première fois loin de chez elle et elle emprunte la route la plus sûre en passant par la Pologne, la Lituanie et la Lettonie avant d’arriver en Russie.

D’innombrables enfants ukrainiens, dont beaucoup sont venus des zones rurales proches de Kharkiv et sont désormais séparés de leur famille, sont coincés derrière les lignes ennemies. La fille de Ioulia, âgée de 16 ans, a également été emmenée en Russie. Ioulia attend son passeport pour qu’elle puisse, elle aussi, se lancer dans ce voyage épique.

L’article “Envoyé spécial” d’Agnès Vahramian, Pavlo Yurov, Bruno Girodon, Serhiy Shestak et Soufiane Yassine du 16 février 2023. Vous pouvez retrouver les anciens épisodes des magazines d’information de France Télévision sur le site franceinfo et l’application mobile (iOS et Android), sous l’onglet “Magazines”.

Agnès Vahramian A T Elle Des Enfants

Lors de son JT de 20 heures du 10 juin, France 2 a présenté des images chargées d’émotion d’un soldat de la Seconde Guerre mondiale rencontrant la jeune Française pour laquelle il avait eu le béguin en 1944. Agnès Vahramian, reporter de France 2, qui a animé la rencontre, raconte événement extraordinaire.

K.T. Robins a 98 ans et Jeannine Ganaye a 92 ans au moment d’écrire ces lignes. Alors qu’il servait à Libération de la Moselle et que Jeannine n’avait que 18 ans, ils se sont rencontrés et sont tombés amoureux.

Alors que le monde commémore le 75e anniversaire du départ des Alliés, les journalistes de France 2 ont déniché de nouvelles informations sur un vétéran américain et son jeune amour français dont l’idylle a été interrompue à la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1944. -ensemble et enregistré l’événement spécial pour la postérité. Depuis la publication des images dans le Journal de 20heures de France 2 le 10 juin, plus de 5 millions de personnes les ont vues. Et cela a fait pleurer beaucoup de personnes.

La correspondante américaine Agnès Vahramian des Deux a révélé sur Twitter comment sont nées les retrouvailles surprises de l’histoire. En interviewant K.T. Robins pour un reportage sur les militaires américains marquant le 75e anniversaire du jour J sur les côtes françaises, la journaliste s’est immédiatement retrouvée prise dans le déroulement du récit.

Plus tard, le vieil homme lui fait découvrir une collection d’objets historiques, dont le portrait d’une jeune femme dont il était tombé passionnément amoureux à la Libération. Quelques noms de famille et une traduction approximative du nom du village ont été fournis par moi. Une phrase souvent utilisée par Agnès Vahramian est “J’ai regardé dans l’annuaire téléphonique parce que c’est le premier endroit où j’ai pensé chercher”.

J’ai téléphoné au village et j’ai été reçu par un homme nommé Daniel Ganaye qui m’a informé : « Non, dans notre famille, une telle histoire n’existe pas ». Le lendemain, il a appelé le journaliste et lui a déclaré : « En fait, c’est ma sœur et elle se souvient parfaitement de ce soldat, elle m’a donné son nom et elle a le fardeau de savoir qu’il est vivant.

Le correspondant de France 2 a immédiatement appelé Jeannine et, après lui avoir posé de nombreuses questions sur sa vie, lui a proposé de la mettre en relation avec l’homme Des retrouvailles des deux côtés de l’Atlantique ont été rapidement organisées, et Maryse Burgot, également journaliste à France 2, est intervenue pour combler le vide en France. De même, dans le domaine du journalisme, les plus belles histoires naissent parfois des débuts les plus humbles.

La journaliste Agnès Vahramian, née en France. Elle est née dans une famille arménienne. Il a apporté d’importantes contributions au journalisme grâce à sa vaste couverture de l’actualité internationale, notamment celle qui touche le Moyen-Orient. L’anniversaire d’Agnès Vahramian est le 21 août.

Les États-Unis d’Amérique sont plutôt ennuyeux. C’est un vaste terrain pour les journalistes, avec des possibilités infinies d’idées d’articles. Nous avons une salle de rédaction avec sept personnes ici au bureau de Washington.

Il y a six heures de décalage horaire entre nous et la France, nous devons donc nous lever assez tôt pour voir les émissions qui proviennent des studios de France Télévisions à Paris. Nous suivons leurs instructions spécifiques et fournissons des recommandations ciblées. L’une de mes activités préférées est de soulever des sujets qui n’ont jamais été abordés en France. Frédéric Lemaître, 57 ans, est basé à Pékin, en Chine, depuis un an et demi et travaille pour le journal français le Monde.

Il existe une interdiction sur Le Monde et les autres journaux étrangers. Les progrès que nous réalisons sont suivis. Un jour, j’ai été suivi par une nuée de photographes alors que j’interviewais le président actuel, Xi Jinping, pour un reportage. Mais maintenant, je suis prêt à me lancer seul. Être expulsé serait désastreux pour moi.

Comme je ne sais pas lire le chinois, mon assistante suit à ma place la presse locale. La lecture des journaux chinois ne vous donnera que la version officielle. J’assume la responsabilité de ma propre éducation en lisant tout ce qui est écrit par des universitaires et d’autres professionnels sur la Chine. Ce pays intéresse mais fait peur. Je n’ai pas peur; Je suis une boule de feu !

Alice Froussard, 26 ans, est depuis huit mois correspondante en Israël et dans les Territoires palestiniens. Elle est habituellement employée par Radio France International (RFI). Jérusalem est désormais divisée entre Israéliens et Palestiniens. Il y a toujours deux histoires, une en Israël et une en Palestine. La véracité et des explications approfondies sont essentielles pour le bien des lecteurs qui manquent de contexte préalable sur ce sujet.

Il est possible que certaines situations tendues soient plus cruciales que d’autres. Un casque de protection et un gilet avec protection balistique intégrée m’ont été fournis par la rédaction de RFI. La seule et unique fois où j’ai été au cœur d’une bagarre, j’ai eu peur et j’ai réussi à m’en sortir au plus vite. Depuis que j’ai fait mes devoirs et parlé à d’autres journalistes qui ont couvert ce sujet, je suis convaincu que le reste du temps se passera sans problème.

Dimanche 4 décembre, la journaliste française Maryse Burgot, 58 ans, est apparue dans l’émission de Laurent Delahousse sur France 2. Elle y a enfin évoqué ses recherches sur le violent conflit qu’a connu l’Ukraine ces derniers mois.

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