Anne-Catherine Verwaerde Jambes

Anne-Catherine Verwaerde Jambes Anne-Catherine Verwaerde est ne en novembre 1974 Bthune, dans la rgion franaise du Nord-Pas-de-Calais. Elle sest intresse au design dintrieur lorsque, enfant, elle accompagnait sa grand-mre dans les vide-greniers et les marchs aux puces.

Anne-Catherine Verwaerde Jambes – Anne-Catherine Verwaerde est née en novembre 1974 à Béthune, dans la région française du Nord-Pas-de-Calais. Elle s’est intéressée au design d’intérieur lorsque, enfant, elle accompagnait sa grand-mère dans les vide-greniers et les marchés aux puces.

Elle a obtenu un MBA et a ensuite occupé le poste de directrice du marketing pour plusieurs organisations, dont Delsey, Samsonite, McArthurGlen et d’autres. Dans le but de recentrer son travail et de satisfaire son amour des meubles anciens, elle lance en novembre 2015 la boutique de décoration vintage en ligne La petite brocante.

En 2017, un casting l’a appelée après avoir vu son travail sur le tournage de l’émission de France 2 Affaire finalisée. Anne-Catherine Verwaerde, transplantée à Londres, se rend à Paris pour filmer un pilote. Grâce au succès du spectacle présenté par Sophie Davant, elle devient l’une des premières clientes. Le public a répondu avec enthousiasme au concert et ce fut un succès retentissant.

Anne-Catherine Verwaerde a un fils à la maison.

L’épisode bonus d’Affaire terminée paraîtra sur France 2 le mardi 8 juin. La possibilité de localiser Sophie Davant et son service achats. Anne-Catherine Verwaerde, Paul Azzopardi, antiquaire à Marseille, et Julien Cohen, futur grand-père, sont tous évoqués.

Cette dernière a connu du succès dans son domaine avant même d’apparaître à la télévision. Comme tout le monde, la brocanteuse a dû commencer au bas de l’échelle professionnelle avant de pouvoir commencer à se distinguer.

La maman a accepté de partager quelques-unes des stratégies qui lui ont permis de gravir les échelons professionnels un échelon après l’autre lors d’un entretien à Télé Star prévu en janvier 2020. Quel est son meilleur conseil ? Il faut se lever tôt, arriver au marché aux puces avant tout le monde et investir du temps pour connaître les vendeurs. Selon elle, « les connexions sont cruciales dans ce domaine ».

Anne-Catherine Verwaerde est connue pour nouer des liens notables dans la rue et les développer lors de ses apparitions à la télévision. Le détaillant de brocante en ligne est ravi d’avoir accepté l’offre de France 2, qu’il négocie depuis près de quatre ans.

Chance extraordinaire donnée à tout brocanteur en France”, il s’agit selon elle d’une fantastique opportunité. C’est également une excellente façon d’explorer le monde de la télévision. Elle affirme ainsi avoir « acheté pas moins de 350 objets » depuis 2017, date de sa première apparition dans l’émission.

Des objets qu’elle achète et qu’elle garde toujours pour elle, ou qu’elle offre occasionnellement en cadeau à ses proches. Les enchères en ligne représentent les deux tiers des ventes restantes. Caroline Margeridon, sa collègue, a une approche radicalement différente des affaires. Il affirme avoir dépensé plus de 120 000 euros en objets divers depuis son arrivée dans Affaire désormais conclue, et en avoir revendu près de 85 % dans ses commerces.

Une personne célèbre qui doit apprendre à contrôler

Même si Anne-Catherine Verwaerde donne de très bonnes notes à Sophie Davant, la “reine des gaffes”, pour sa performance, elle reconnaît qu’il y a une autre facette de l’histoire. Il lui est devenu de plus en plus difficile de faire des affaires sur le marché français de l’occasion maintenant que son visage est reconnu par tant de vendeurs.

Elle est désormais assurée d’être reconnue partout où elle va. Sa fréquence augmente à chaque fois qu’elle visite Paris, dit-elle. Sur les marchés aux puces régionaux, “je suis surtout reconnu, car il y a des fans du spectacle”. C’est une bonne chose, dit-elle, car “il y a là beaucoup d’amour et d’affection”.

Anne-Catherine Verwaerde, antiquaire, est l’une des femmes d’affaires présentées dans la populaire émission Affaire terminée, animée par la ravissante Sophie Davant. Ce fait a été caché au public jusqu’à ces derniers mois. Aux côtés d’autres antiquaires dont Alexandra Morel, Pierre-Jean Chalençon, Diane Chatelet et Julien Cohen, elle assiste aux ventes aux enchères.

Anne-Catherine Verwaerde réside à Londres depuis une décennie, alors qu’elle est née dans les Hauts de France. Elle est titulaire d’un MBA et a travaillé comme directrice de produit, où elle a collaboré avec Chantal Thomass et Alexander McQueen pour créer des lignes de lingerie, de bagages et de vaisselle pour de grandes marques multinationales.

Afin de permettre à ses clients d’accéder non seulement à des meubles anciens uniques trouvés exclusivement en Angleterre, mais également à de superbes objets français, elle a lancé fin 2015 la boutique en ligne parisienne La Petite Brocante. Rendez-vous sur son site Internet pour trouver vos articles préférés. , dont elle acquiert beaucoup dans l’émission.

Anne-Catherine Verwaerde, 45 ans, membre de l’équipe historique des repreneurs de l’Affaire conclue sur France 2, était récemment à l’honneur dans un entretien exclusif avec la chaîne. Elle a rencontré Femme Actuelle pour une longue interview dans laquelle elle a évoqué sa vie de double citoyen anglais et français, son fils Jack et son travail.

Anne-Catherine Verwaerde Jambes

La première heure d’Affaire conclue de Sophie Davant sur France 2 met en scène Anne-Catherine Verwaerde, acheteuse de 45 ans. La quadragénaire s’est ouverte sur Femme Actuelle sur sa transformation de vie, son déménagement à Londres, sa relation avec son fils Jack, son amour des marchés aux puces et ses amitiés avec les autres acheteurs de l’émission.

Acting Woman : Comment avez-vous été choisie pour conclure Affaire ?

Anne-Catherine Verwaerde : Lors de mon embauche, j’étais la toute première acquéreuse. Warner Bros., les producteurs de la série, m’ont trouvé via mon site Web après m’avoir vu dans des vidéos Internet. Apparemment, ils ont une idée de programme et souhaitent filmer un pilote. Plusieurs projets ont réussi le test devant un public.

Au bout d’un mois, ils ont dit que c’était bon. À ce moment-là, j’étais la seule femme présente. Pierre-Jean Chalençon, Julien Cohen, François Cases Bardina, Alain Laugier et moi-même avons tous participé au vol d’essai. En juillet 2017, nous avons commencé le tournage. Nous étions sept à commencer, avec un planning de tournage de trois mois.

Combien d’entre vous travaillaient sur la série ?

Nous étions toujours cinq à être présents sur le plateau, le reste de l’équipe étant au nombre de sept. Julien et Pierre-Jean sont indispensables. Sauf lorsque des conflits avec d’autres engagements l’exigent, ils apparaissent dans chaque épisode.

Les trois places restantes sont alternées entre nous. Quand nous avions sept ans, nous avions des séances de tournage deux fois par semaine. De nouvelles personnes ont commencé à apparaître au fil du temps. Nous sommes actuellement dix-huit à travailler ensemble.

Quel est votre nombre moyen de clichés par magazine ?

Chaque jour, je prends moins de photos. Cependant, à mesure que de nouvelles franchises ont été créées, nous avons désormais davantage de séries à filmer simultanément. Les objets sont au centre d’émissions comme « La vie des objets » et « La chasse aux objets », dans lesquelles les animateurs visitent les ménages à la recherche d’objets perdus.

Enfin et surtout, toutes ces fusillades consomment la moitié de ma journée de travail. La majorité de mon temps est consacrée à travailler sur mon site Web, ce qui implique tout, de la photographie de produits à l’exécution des commandes en passant par la communication avec les visiteurs.

Comment connaissez-vous les nombreux acheteurs de l’affaire conclue ?

Nous étions tous très proches au début du spectacle. Nous n’avions aucune connaissance ou expertise préalable pour déterminer si l’initiative réussirait ou non. Notre point de départ était de trois à quatre pour cent de part de marché.

Un demi-point, puis un point, et enfin 10% d’audience en novembre 2017 ! Il y a eu une fête avec du champagne et France 2. Le taux de réussite actuel est au-dessus de nos espérances les plus folles. La taille de notre audience est désormais passée à 20 %. À l’époque, les médias n’avaient pas beaucoup parlé d’une nouvelle idée de marché aux puces.

Que pensez-vous des différents acheteurs ?

Pour répondre à votre question, oui, je le fais. Le nom de l’acheteur espagnol est Leticia Blanco. Nous essayons de rester en contact en appelant au moins une fois par semaine. Nous sommes honnêtes sur nos sentiments, nos victoires et nos défaites.

Je suis ravi qu’elle fasse partie du groupe maintenant. Nous sommes tous les deux uniquement des marchands en ligne. Nous devons tout gérer nous-mêmes, fournir un service sur mesure, établir des relations solides avec nos clients et fournir un accompagnement continu et personnalisé. Nous partageons une ressemblance frappante en termes d’apparence. Après la fin du spectacle, j’imagine que nous serons toujours en contact.

Verwaerde, Anne-Catherine. En général, j’aime beaucoup l’embellissement. Quand j’étais enfant, j’allais au marché aux puces avec ma grand-mère, comme beaucoup d’autres personnes. Je suis devenu directeur marketing et j’ai été continuellement étonné par les techniques de production et l’effet global dont j’ai été témoin lors de mes visites d’affaires, notamment en Chine.

En pleine mini-crise de la quarantaine, j’ai eu l’idée de créer ma propre entreprise de décoration éco-responsable, liée au recyclage et aux objets vintage, alliant mon amour des brocantes, de la décoration et l’envie de trouver du sens et réduire notre impact collectif sur les ressources naturelles de la planète. C’est ainsi que j’ai créé La petite brocante, ma boutique d’antiquités en ligne.

Ce que vous décriviez était une crise de la quarantaine. Je sais que c’est une question impolie à poser, mais dites-moi votre âge s’il vous plaît.

C’est hilarant depuis que j’ai découvert que c’est l’une des façons les plus courantes de rechercher mon nom sur Google. Nous sommes arrivés à l’ère « Anne-Catherine, affaire conclue » ! Au cas où vous vous poseriez la question, j’aurai 44 ans la semaine prochaine. En conséquence, elle se met à rire de manière incontrôlable.

Comment avez-vous fini par être choisi pour participer à la série ?

Un an après avoir réalisé mon site internet, un vendredi soir qui me vient à l’esprit, des casters m’ont envoyé un email. Il leur fallait des assassins pour tuer le pilote. Le principe de l’émission se heurtait à trois autres propositions, ses chances d’être réellement diffusées étaient donc incertaines. Lundi, j’ai pris l’avion pour Paris.

Une heure a été consacrée à réaliser un test de caméra, pendant laquelle je me suis présenté, j’ai discuté de mes aspirations et de mes principes et j’ai expliqué pourquoi je m’étais retrouvé dans un marché aux puces. Ainsi commença un voyage passionnant.

Pourquoi avez-vous trouvé l’approche Closed Deal attrayante Il s’agit d’une opportunité unique pour tout antiquaire français. C’est un voyage passionnant dans le.

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